L'Assemblée nationale a adopté une résolution réglementant un certain nombre de mécanismes et de politiques visant à lever les difficultés et les obstacles dans l'organisation de la mise en œuvre de la loi foncière qui stipule le niveau de perception des droits d'utilisation des terres lors du transfert de terres agricoles vers des terres résidentielles. Cette résolution entre en vigueur le 1er janvier 2026.
Cérémonie claire sur l'exonération et la réduction des droits d'utilisation des terres
La résolution précise que dans le cas d'exemption de droits d'utilisation des terres et de loyer foncier il n'est pas nécessaire de déterminer le prix du terrain il n'est pas nécessaire de calculer de l'argent et il n'est pas nécessaire de faire la demande d'exemption à l'exception du cas d'exemption pour une durée déterminée.
Pour les cas de réduction de loyer foncier annuelle conformément aux réglementations du gouvernement les utilisateurs de terrain n'ont pas besoin de suivre les procédures de demande de réduction contribuant ainsi à simplifier les dossiers administratifs.
La méthode de calcul de l'argent lors du changement de destination du terrain
Lors du changement de destination des terres les habitants doivent payer une redevance d'utilisation des terres ou une redevance de location des terres pour le reste du temps calculée en fonction de l'écart entre le type de terre après le changement et le type de terre avant le changement de destination des terres.
Il est à noter que la résolution stipule spécifiquement le niveau de perception pour les terres de jardins d'étangs ou de terres agricoles dans la même parcelle de terrain résidentiel déterminé lors de la reconnaissance des droits d'utilisation des terres et de leur conversion en terres résidentielles.
Le taux de perception des redevances foncières dépend de chaque zone
La résolution précise que l'argent de l'utilisation des terres est calculé comme suit :
30 % de la différence entre l'allocation foncière et le prix du terrain résidentiel et le prix du terrain agricole appliquée à la superficie dans la limite d'attribution du terrain résidentiel dans la localité ;
50 % de la différence pour la partie de superficie dépassant la limite mais pas plus d'une fois la limite d'attribution de terrains résidentiels ;
100 % de la différence pour la partie de superficie dépassant le niveau ci-dessus.
Ce niveau de perception ne s'applique qu'une seule fois à chaque ménage ou individu sur une parcelle de terrain.
La réglementation sur les certificats et les données foncières
La résolution ajoute également de nombreuses dispositions visant à résoudre les problèmes liés à la gestion foncière. En conséquence les cas de transfert de droits d'exploitation minière ou de changement de type d'entreprise ayant des documents fonciers légaux seront enregistrés en bourse au lieu de devoir refaire les procédures de délivrance du certificat.
L'enregistrement de l'hypothèque des droits d'utilisation des terres et des biens liés aux terres n'a qu'à être mis à jour dans la base de données foncières et non à être confirmé sur le certificat comme auparavant.
Les ménages les familles et les individus qui utilisent des terres de manière stable et qui ont un certificat de droit d'utilisation des terres temporaire délivré depuis le 15 octobre 1993 seront tenus d'envisager la délivrance d'un certificat de droit d'utilisation des terres et de propriété des biens liés aux terres conformément aux dispositions du paragraphe 3 de l'article 137 de la loi foncière.
La condition lors de la séparation et de la fusion des parcelles de terrain
Lors de la séparation ou de la fusion des parcelles la parcelle de terrain doit avoir une route reliant les transports publics ou être autorisée par l'utilisateur des terrains adjacents à passer pour la connexion.
Dans le cas où l'utilisateur du terrain réserve lui-même une partie de la superficie pour faire un passage il n'est pas obligatoire de transférer l'utilisation de cette partie du terrain.