S'exprimant dans la salle le secretaire general a propose un certain nombre de groupes de sujets pour que les delegues echangent et discutent en profondeur :
En termes de institutions et de lois nous avons promulgue des lois pour gerer la societe par la loi construire un Etat de droit socialiste du peuple dirige par le peuple et pour le peuple. Mais dans la pratique il existe encore la situation ou 'la loi est juste mais la faire est difficile'. Sur la scene politique c'est courant mais en dessous de la base c'est difficile.
Le secretaire general a demande aux delegues de se concentrer sur la clarification de la raison pour laquelle il existe des lois des decrets des circulaires promulguees de maniere tres sophistiquee et tres dense mais que les cadres de base n'osent pas faire? Les entreprises ont du mal a se debrouiller les gens sont confus et tournent le dos. Quel endroit donne le pouvoir et oblige les gens a assumer des responsabilites qui depassent leur capacite de controle?
En ce qui concerne la construction et l'achevement de l'Etat de droit socialiste le Secretaire general a propose que l'avis des delegues se concentre sur la question : 'Quel autre vide qui fait que les gens pensent que 'ils peuvent le vouloir et ne le veulent pas'? Quelle est la situation ou les gens doivent 'exiger' les choses qu'ils auraient dû 'obtenir'? S'il n'y a pas de reponse complete c'est precisement la que l'Etat de droit n'est pas complet'.
Le secretaire general a egalement souligne que la construction de notre Etat de droit est la construction d'un Etat fort mais sans abus de pouvoir ; discipline mais pas loin du peuple ; action decisive mais toujours humaine convaincante et dialogueuse. Ces orientations doivent etre clairement definies dans le document du XIVe Congres.
En ce qui concerne la repartition des pouvoirs et l'organisation de l'appareil le secretaire general doit repondre a deux questions : quelles sont les repartitions pour qui quelles sont les conditions ; et quel sera le mecanisme de responsabilite d'inspection et de supervision?
Le secretaire general a demande aux delegues de donner leur avis directement sur ce sujet. La ou les subordonnes peuvent prendre des decisions plus rapidement et plus proches du peuple que les superieurs ils doivent hardiment confier des pouvoirs. Mais confier des pouvoirs n'est pas « faire baisser les choses » ni « faire baisser les risques ».
Le transfert de pouvoir doit aller de pair avec les ressources les ressources humaines les outils et toute la zone de securite juridique afin que les cadres osent faire et osent assumer la responsabilite pour l'interet general et non pour assumer une responsabilite personnelle injustement.

Le secretaire general a demande aux delegues d'apporter des avis specifiques sur le modele de gouvernement local a deux niveaux comment il doit etre conçu pour que la population ne soit pas eloignee du gouvernement et ne soit pas brisee par les services publics? Ne pas declarer la rationalisation de l'appareil mais donner un etage supplementaire - pour l'exterieur de la realite.
Parallelement il y a la relation entre les 3 niveaux de gouvernement : central/province/ville et de base. Les 3 niveaux doivent etre un ensemble fonctionner de maniere fluide partager des responsabilites et se soutenir mutuellement. Il ne faut absolument pas que les 3 classes soient specialisees dans la 'transfert de responsabilites mutuelles' pour que les gens courent autour.
Concernant l'esprit d'innovation de la pensee d'innovation des methodes de travail d'innovation de la gouvernance nationale selon la devise de la creation et pour le peuple le secretaire general a souligne que le monde change tres rapidement et que la realite nationale change egalement tres rapidement. Si notre pensee est plus lente que la realite le document sera obsolete immediatement meme juste apres son adoption.
Le secretaire general a demande aux delegues de preciser ou il y a encore des procedures lourdes qui decouragent les entreprises ; ou les gens sont indignes parce qu'ils se deplacent a plusieurs reprises sans pouvoir resoudre les problemes ; ou il y a encore des 'travaux de mecanismes'. Nous soulignons directement sans negliger. Il faut regarder droit dans les yeux pour corriger ces lacunes et ces limitations.
Selon les delegues qui sont proches du peuple qui comprennent la vie reelle qui comprennent les pensees des electeurs quels autres problemes n'ont pas ete nommes correctement dans le document? Quel autre nœud que si nous ne l'ouvrons pas maintenant dans les 5 prochaines annees nous paierons un prix plus eleve?' a souligne le secretaire general et a propose de parler franchement de tout dire clairement ces points ces decouvertes.