Le 11 décembre lors de la 5e session du Conseil populaire de la ville de Đà Nẵng mandat X le député du Conseil populaire de la ville de Đà Nẵng Bling Mia a présenté de nombreuses propositions concernant le développement des forêts les infrastructures montagneuses l'éducation et la santé et le modèle de gouvernement local à deux niveaux.
En ce qui concerne le développement des forêts le député Bling Mia estime que la compréhension actuelle de 'grande forêt de bois' n'est pas conforme à sa nature car les forêts sont exploitées par cycle ce qui ne reflète pas l'objectif de durabilité. Il a proposé qu'en 2026 il soit nécessaire de mettre en œuvre la recherche et d'élaborer un projet de développement durable des forêts pour la période 2035-2035 vision 2050 en considérant les forêts comme une ressource réelle pour la conservation de la nature la biodiversité la fourniture de
Concernant le programme de développement des régions montagneuses le député a souligné que la province de Quảng Nam avait auparavant promulgué des résolutions pour cette région mais qu'elles n'avaient pas été efficaces en raison du manque de ressources. Il a proposé que la ville élabore une stratégie globale répartissant clairement chaque programme et projet pour traiter les problèmes urgents.
Le premier problème est l'infrastructure de transport des régions montagneuses selon certains délégués c'est un facteur décisif pour réduire l'écart de développement entre les régions montagneuses et les plaines. Par conséquent certains délégués ont proposé d'étudier la direction de l'investissement dans la modernisation des infrastructures des routes nationales et provinciales selon un modèle durable limitant au maximum la creusement de montagnes.
L'infrastructure de transport doit être conçue en donnant la priorité aux tunnels et aux ponts ; les zones montagneuses doivent effectuer des études géologiques pour calculer un plan de creusement de tunnels. En fait chaque année nous dépensons plus de 1 000 milliards de dongs pour réparer les glissements de terrain dans les infrastructures de transport. Si l'on combine 5 ans ce chiffre équivaut au capital d'investissement d'une nouvelle ligne solide. Par conséquent cette question doit être examinée dans une stratégie à long terme et
Le deuxième problème est l'eau potable dans les régions montagneuses. Alors que l'objectif fixé est que 90 % de la population des régions montagneuses utilisent de l'eau potable ce critère est en réalité très difficile à atteindre. Le député a proposé qu'il y ait un projet de centre d'eau potable pour les communes et les zones résidentielles concentrées après la fusion.
Le troisième problème est l'éducation et la santé dans les régions montagneuses. En ce qui concerne l'éducation le député a demandé de rechercher un mécanisme de « sortie » pour les élèves des écoles spécialisées et des écoles internes afin de former des cadres de qualité pour les régions montagneuses. En ce qui concerne la santé il a précisé que la circulaire 43 stipule qu'il faut achever le poste de santé communal à partir du 31 décembre 2025 mais que les normes et conditions de mise en œuvre n'ont pas été guidées ce qui a conduit à la confusion.
Concernant le modèle de gouvernement local à 2 niveaux le député a souligné le plus grand obstacle à savoir l'unilatéralisation de la répartition des pouvoirs et des mandats en particulier l'allocation de 1 656 effectifs entre le niveau de base et le niveau communal. Il a estimé que le niveau communal n'a actuellement pas la compétence nécessaire pour recevoir les tâches. Le député a également proposé de confier à la localité le droit de créer de manière proactive un comité de gestion de projet si cela n'est pas corrigé
Le député a également analysé les raisons pour lesquelles les fonds du Programme national cible après fusion n'ont pratiquement pas pu être décaissés : manque de mécanismes organisationnelles de mise en œuvre peu claires en même temps affectées par les catastrophes naturelles et réorganisation de l'appareil. Il a demandé au Conseil populaire d'envisager de reporter le plan de capital 2025 à 2026 afin de débloquer les points bloquants.
Parallèlement les délégués ont proposé que la ville continue d'investir dans le développement urbain au centre des communes après la fusion et de soutenir la construction de complexes industriels afin de créer des emplois d'augmenter les revenus et de réduire durablement la pauvreté des populations montagneuses.