Ces derniers jours des nouvelles tristes ont continuellement couvert les journaux et les reseaux sociaux. Du deces de M. Hoang Nam Tien - un homme gentil et plein d'ambition - a l'incident douloureux de l'arbitre Tran Dinh Thinh alors qu'il inspectait et s'entraînait avant la saison puis a une serie de noyades tragiques qui ont coûte la vie a des enfants encore trop naïfs. Quelque part de nombreuses autres histoires sont egalement pleines de pertes et de regrets.
Comme une habitude une procedure apres l'apparition soudaine d'informations le regret s'infiltre puis les histoires les aspects personnels des celebrites qui viennent de mourir sont exploites... Apres quelques jours d'apaisement des emotions nous retrouvons les veritables causes de la douleur - qui sont en grande partie 'pas du hasard'.
Et les gens voient frequemment des articles d'avertissement : il faut s'entraîner a la sante il faut prodiguer les premiers secours correctement il faut enseigner aux enfants les competences de survie il faut faire ceci il faut faire cela il ne faut pas etre subjectif... Mais tout cela n'est que 'passer apres' la douleur. Lorsque les larmes ont coule les avertissements aussi mauvais soient-ils sont devenus tardifs. Puis parfois ils tombent dans l'oubli jusqu'a la prochaine douleur...
Cela peut sembler cruel mais l'erreur et la subjectivite de cette personne sont aussi une leçon pour ceux qui restent une leçon pour la presse et les medias. Devrions-nous changer notre façon de faire? Au lieu de simplement fournir des previsions meteorologiques il est peut-etre temps d'avoir un 'avertissement de risque' quotidien inclus? Pour des avertissements specifiques detailles lies a la vie reelle. Pas seulement des informations 'pluie chaude pluie
En particulier la subjectivite ou la pensee de 'etre un peu plus energique' dans des conditions ou le corps ne le permet pas - ma propre sante - est quelque chose qui doit changer chez chacun.
Par consequent l'information au bon moment est suffisamment emouvante pour sauver quelqu'un. Les gens ne peuvent pas attendre que les medias racontent des lignes de regrets avec le sentiment d'ecrire... des poemes. La presse et les medias doivent devenir des compagnons de route voire faire un pas en avant et non apres la douleur.