Avis de la redaction : La zone speciale de Phu Quoc (province d'An Giang) - L'île Ngoc dans la mer de l'Ouest de la patrie est confrontee a un probleme epineux et persistant : le recours en justice fonciere complexe et prolonge. Il ne s'agit pas seulement d'une histoire de reclamation des droits legitimes des citoyens mais aussi d'une opportunite pour les 'courtiers' (personnes qui engagent des activites de courtage de services juridiques ou effectuent des procedures... non officielles dans le
Ils cherchent tous les moyens de provoquer des developpements voire de regenerer les affaires qui ont ete resolues par les autorites competentes... Cela non seulement nuit a la securite et a l'ordre public mais erode egalement la confiance dans le systeme public et affecte gravement l'environnement d'investissement de Phu Quoc.
L'affaire de la recuperation de terres et de l'aide a la reinstallation liee au parc national (PN) de Phu Quoc que le journaliste de Lao Dong a interrogee en est un exemple typique.
Le dossier a un moment sensible
Recemment le journal Lao Dong a reçu une petition du lecteur D.V.C representant un groupe de menages du hameau de Cay Sao et du hameau de Bai Bon commune de Ham Ninh ville de Phu Quoc aujourd'hui zone speciale de Phu Quoc province d'An Giang.
Contenu de la plainte : « Le Parc national de Phu Quoc a deplace la limite forestiere nationale derriere les parcelles des menages depuis 2004, affectant les droits de nombreux menages... ».
Cependant dans le dossier joint il n'y a aucun document juridique.

Dans la plainte M. D.V.C a affirme : 'Nous les habitants des îles et des mers avons peu d'education et de connaissances c'est pourquoi l'agence VQG de Phu Quoc et le gouvernement de Phu Quoc qui est maintenant la zone speciale de Phu Quoc la province d'An Giang ont pris des terres et des fruits du travail des menages qui ont defriche et cultive depuis les annees apres l'unification totale du pays par le Sud jusqu'a present'.
En recherchant cette histoire nous avons decouvert que le probleme n'etait pas aussi simple que le contenu de la plainte. En effet l'incident s'est produit en 2004 (plus de 20 ans auparavant) mais a ete simultanement reactive. Reconnaissant la nature complexe du probleme nous nous sommes rapidement rendus a Phu Quoc pour rencontrer directement les menages verifier le terrain et comparer avec les autorites locales.

Identifier le 'courtier adjoint'
Lors de notre premiere rencontre M. D.V.C nous a conduits chez un menage nomme D.T. Ici nous avons repris l'histoire selon un scenario comme ce que M. D.V.C nous avait dit auparavant. Fondamentalement en raison de leurs limitations en termes de connaissances juridiques et de stockage de dossiers ils manquaient de documents mais le fait qu'ils aient subi des dommages fonciers est vrai.
Tout cela comme un signe pour penser a l'histoire de'sortir ensemble d'un scenario' ou M. D.V. C n'est pas seulement le 'presentateur' mais joue egalement le role de 'chef d'orchestre' dans l'orientation des gens pour qu'ils parlent a la presse. C'est pourquoi nous nous mettons encore plus dans un regime de travail tres vigilant.

Ensuite M. D.V.C a continue a nous emmener a la maison situee a plus d'un kilometre de la ou de nombreuses personnes attendaient pour presenter (y compris la preparation d'un plateau pour le banquet).
Apres avoir ecoute et observe nous avons realise que nous devrions continuer a ecouter l'ancien scenario : manque de documents et de documents juridiques necessaires mais il est tres necessaire que la presse soutienne et reclame justice.
En nous disant que s'ils ne fournissaient pas de documents juridiques supplementaires il serait difficile de realiser l'article selon la demande des lecteurs de nombreux habitants ont insiste. Voyant cela nous avons pris le temps de nous renseigner et de suggerer de rechercher et de rediger des extraits de documents conformement a la tache du journaliste.
Comme il faisait assez sombre a ce moment-la nous avons demande la permission de ne pas prendre le repas prepare. Notre interet a ete considere par M. D.V.C comme une opportunite de mettre en œuvre une connexion privee.

Le lendemain matin M. D.V.C a pris l'initiative de nous appeler et a directement propose que nous fassions un article avec un regime alimentaire partage 50/50.
Si j'en reçois 1 milliard (1 milliard de VND - PV) alors mes freres et sœurs en reçoivent 500 (500 millions de VND - PV) mes freres et sœurs en reçoivent egalement. J'ai aussi la confiance et le mandat des gens...' a declare M. D.V.C.
L'intention de partager de maniere flagrante a revele la nature de l'escroquerie cachee derriere les proces de D.V.C.
Nous avons categoriquement refuse l'offre de M. D.V.C : 'Nous ne recevons aucune source d'avantages'.
Le gouvernement doit dialoguer mais est absent
Nous avons decide de rencontrer les autorites competentes pour continuer a verifier et a comprendre la verite et avons ete surpris de constater que le representant des menages qui se plaignent dans ce cas n'etait pas necessairement pour la justice.
Sous la direction des dirigeants M. Dang Minh Lap - Directeur du Centre de tourisme ecologique et de sauvetage des especes du district de Phu Quoc - a directement echange les contenus lies a la plainte.
M. Lap a affirme qu'en comparant avec les dossiers il a determine que la superficie des terres de 30 menages (appartenant a la meme plainte collective) se trouvait toutes dans le cadre de la reconnaissance de forets speciales.
Ce terrain a ete confie par le Comite populaire provincial et delivre un certificat de droit d'utilisation des terres au Comite de gestion des forets de protection speciale depuis 1998 (conformement a la decision 2163 du Comite populaire provincial)' a affirme M. Lap.

M. Lap a egalement ajoute que avant que le journal Lao Dong ne vienne travailler le VQG Phu Quoc avait egalement reçu les instructions du Comite populaire provincial et avait invite des representants des menages plaints dont M. D.V.C a venir travailler. Cependant lorsque le VQG Phu Quoc a invite M. D.V.C a s'entretenir M. D.V.C n'etait pas present dans la localite. Meme lorsque la personne responsable a contacte il n'a pas reçu d'informations.
En contactant le chef du hameau de Cay Sao ou M. D.V.C se presente comme residant nous avons appris qu'il etait rarement present dans la localite. Cela nous amene a douter de la raison pour laquelle M. D.V.C a affirme que 'les habitants ont declare legalement depuis 1975' dans la plainte mais lorsqu'il a ete directement invite par l'organisme responsable a dialoguer pour qu'il ait la possibilite de reclamer justice il n'etait pas present?