Abandonner la proposition de soutien à 100 % des salaires des fonctionnaires fiscaux et d'exonération de l'impôt sur le revenu
Le matin du 10 décembre l'Assemblée nationale a voté l'adoption de la loi sur la gestion fiscale (amendée).
Les résultats du vote électronique montrent que 437/448 députés participant au vote ont approuvé (représentant 91 9 %).

Avant de voter le ministre des Finances Nguyễn Văn Thắng a présenté un rapport résumé sur l'acceptation la clarification l'ajustement et l'achèvement du projet de loi sur la gestion fiscale (amendée).
Concernant l'ajout de revenus aux fonctionnaires et aux travailleurs le ministre a déclaré qu'en acceptant les avis d'examen les avis des députés et les avis de l'UBTVQH le gouvernement a supprimé le contenu du paragraphe 5 de l'article 9 du projet de loi.
Dans le projet précédent le paragraphe 5 de l'article 9 sur le régime de soutien aux fonctionnaires des impôts le ministère des Finances a proposé 2 options.
Option 1 (dans le cas où l'avis du Bureau politique est approuvé avant l'adoption de la loi) : les fonctionnaires chargés de la gestion fiscale bénéficient d'un soutien mensuel de 100 % du salaire selon le coefficient de salaire actuel (hors allocations).
Ce soutien mensuel est versé à la même période de salaire et n'est pas utilisé comme base pour calculer les cotisations d'assurance sociale. Les revenus de ce soutien sont exonérés d'impôt sur le revenu des personnes physiques et d'autres obligations financières envers l'État.
Option 2 (dans le cas où l'avis du Bureau politique n'est pas approuvé avant l'adoption de la loi) : Le gouvernement stipule l'ajout de revenus aux fonctionnaires chargés de la gestion fiscale et aux employés des organismes de gestion fiscale après approbation par les autorités compétentes.
Ainsi la loi sur la gestion fiscale (amendée) qui vient d'être adoptée par l'Assemblée nationale ne prévoit plus de soutenir 100 % du salaire des fonctionnaires des impôts ni d'exonérer l'impôt sur le revenu des personnes physiques.

La durée du contrôle fiscal des entreprises est de 40 jours.
Selon la loi sur la gestion fiscale (amendée) qui vient d'être adoptée l'organisme de gestion fiscale a le droit de demander au contribuable de fournir des explications de compléter des informations et des documents ; de promulguer une décision d'ajustement fiscal de traiter les infractions fiscales ou de passer à un contrôle au siège du contribuable.
L'inspection au siège du contribuable est effectuée dans les cas suivants : Les dossiers relevant de l'inspection préliminaire de remboursement des impôts ; présentant des signes de violation de la loi ; sélectionnés selon un plan ou un thème ; conformément aux demandes et aux demandes des autorités compétentes.
Les contribuables à haut risque sont concernés par les cas suivants : divisions cessions fusions fusions acquisitions transformations types d'entreprises faillites dissolutions arrêts d'activités privatisations arrêts de validité de codes fiscaux changement de lieu de commerce...
Le délai d'inspection fiscale ne dépasse pas 20 jours à compter de la date de publication de la décision d'inspection et en cas de besoin il peut être prolongé une fois mais ne dépassant pas 20 jours.
Le délai d'inspection fiscale pour les entreprises ayant des transactions associées n'est pas supérieur à 40 jours et en cas de besoin il peut être prolongé une fois mais pas plus de 40 jours.
Dans le cas où il est nécessaire de recueillir et d'échanger des informations avec les autorités fiscales étrangères le délai d'inspection fiscale peut être prolongé mais ne pas dépasser 2 ans. Ce délai d'inspection ne comprend pas le délai d'arrêt temporaire de l'inspection.