Dans une declaration commune ces pays ont condamne la situation de 'province d'aide a petite echelle' pour les Palestiniens a Gaza exprimant leur mecontentement face a la scene ou plus de 800 civils sont tues alors qu'ils recherchent de l'aide.
La plupart des personnes tuees ces derniers temps se trouvent a proximite des sites du Fonds humanitaire de Gaza (GHF) des endroits qui avaient ete proposes par les Etats-Unis et Israël pour etre repris par un reseau dirige par les Nations unies pour soutenir les Palestiniens.
Ne s'arretant pas la la declaration commune a egalement critique l'aide du gouvernement israelien qualifiant cela de modele « dangereux qui accroît l'instabilite et prive le peuple de Gaza de dignite humaine ».
Les mots d'attaque ont continue d'augmenter lorsque les ministres des Affaires etrangeres du groupe ont affirme : 'La souffrance des civils a Gaza a atteint un nouveau niveau'.
Pendant ce temps le ministere israelien des Affaires etrangeres estime que la declaration commune des pays ne reflete pas correctement la situation et ne clarifie pas non plus le role ou la responsabilite du Hamas - la partie frontaliere directe avec Israël a Gaza.
Le ministre israelien des Affaires etrangeres Gideon Saar a affirme que le Hamas est la force qui a plonge le peuple palestinien dans la misere pendant de nombreuses annees et a intentionnellement prolonge les combats.
L'ambassadeur americain en Israël M. Mike Huckabee a egalement exprime son mecontentement face a une serie de declarations communes sur Israël de dizaines de pays. M. Huckabee a estime que blamer Israël etait 'rationnel' car le Hamas a refuse toute proposition de fin de la guerre.
Auparavant les 19 et 20 juillet le ministere de la Sante de Gaza avait declare qu'environ 100 Palestiniens avaient ete tues par les tirs israeliens alors qu'ils attendaient d'etre aide dans la region nord de Gaza.
Israël a ensuite reconnu avoir tire des coups de feu de precision pour avertir une grande foule dans le nord qu'il considere comme une'menace immediate'.
Cependant l'administration du Premier ministre Benjamin Netanyahu estime que les chiffres de victimes annonces sont faux et affirme ne pas viser intentionnellement les vehicules humanitaires.