Les depenses ne suffisent toujours pas
Selon les observations du journaliste bien qu'ils travaillent continuellement et regulierement chaque mois les revenus de certains ouvriers ne suffisent qu'a couvrir les depenses de subsistance et il n'y a presque aucune accumulation.
Mme Dam Thi Van (Cao Bang) qui travaille comme ouvriere dans la zone industrielle de Bac Thang Long a declare qu'elle travaille pas moins de 24 heures par mois avec un revenu d'environ 12 a 13 millions de VND. Cependant avec les depenses de subsistance croissantes elle ne trouve toujours pas cela facile a vivre.
La famille de Mme Van a deux jeunes enfants un enfant de plus de 20 mois et un enfant qui entre en premiere annee cette annee. Bien que cette annee scolaire soit gratuite les frais de scolarite et l'assurance maladie soient pris en charge a hauteur de 50 % l'argent des livres et des uniformes l'argent de l'hebergement et d'autres depenses sont egalement tres eleves.
Mon loyer mensuel est de plus d'un million de dongs environ environ 2 millions de dongs pour manger et boire plus d'argent pour m'occuper de mon enfant de l'argent pour le mariage les funerailles et les depenses... mon revenu restant n'est pas tres eleve' a partage Mme Van.

Non seulement la pression sur les frais de scolarite de son enfant est forte mais ce mois-ci le mari de Mme Van a egalement demissionne pour trouver un nouvel emploi il n'a donc pas de salaire et tous ses depenses dependent de son salaire.
Tout comme Mme Van avec un salaire de plus de 10 millions de VND/mois Mme Nguyen Thi Hanh (Tuyen Quang) se sent egalement tres stressee chaque fois que la nouvelle annee scolaire arrive. Si chaque annee la famille de 4 personnes de Mme Hanh loue une chambre dans la zone industrielle de Bac Thang Long pour y vivre cette annee en raison de la situation economique difficile l'argent depense pour les etudes de son fils aîne est trop important alors Mme Hanh a dû envoyer son fils a la campagne pour etudier afin de reduire le fardeau des
L'annee derniere parce que mon enfant n'a pas suivi ses camarades j'ai dû louer des enseignants a l'exterieur. Une semaine seulement deux cours mais le coût est egalement assez eleve. Cette annee si nous continuons a louer l'economie de la famille ne pourra pas subvenir a ses besoins et garder mon enfant ici me rend de plus en plus faible. Finalement j'ai dû l'emmener a la campagne.
Quitter son enfant est quelque chose que tous les parents ne souhaitent pas mais cette annee ma famille est obligee d'accepter' a partage Mme Hanh.
Le travail supplementaire pour avoir suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de l'enfant
Mme Nguyen Thi My Hanh travaille comme ouvriere depuis plus de 15 ans dans la zone industrielle de Bac Thang Long avec actuellement un salaire d'environ 12 millions de dongs/mois. Ajoute au revenu de son mari l'economie de sa famille n'est pas trop limitee mais avec 3 enfants en age d'aller a l'ecole chaque annee scolaire son mari et elle doivent calculer chaque detail.
Rien que pour les frais de scolarite les 3 enfants depensent plus d'un million de VND par mois les frais de nourriture et d'hebergement pour les enfants ont egalement vu des annonces d'augmentation des prix sans compter les cours d'anglais les competences de vie et les fonds de classe' a declare Mme Hanh.
Actuellement Mme My Hanh travaille 4 jours de suite 12 heures par jour puis 2 jours de conge. Pour gagner un revenu supplementaire en profitant des jours de conge Mme Hanh va au marche pour vendre des gateaux le revenu varie de 50 000 a 200 000 VND/jour.

Meme si le revenu n'est pas eleve on gagne un centime ou un centime' a declare Mme My Hanh.
Cette annee pour preparer les bagages de ses enfants avant la nouvelle annee scolaire Mme My Hanh a dû economiser quelques mois auparavant. Si elle n'economisait pas tot elle devra emprunter davantage pour couvrir les depenses.
En fait la plupart des ouvriers d'aujourd'hui n'ont que des revenus suffisants pour leurs depenses quotidiennes telles que l'argent de la location l'electricite l'eau la nourriture et les etudes pour leurs enfants. Tout evenement survenu au cours de la nouvelle annee scolaire devient une pression non negligeable.