Le journal The Times (Angleterre) a recemment rapporte que les deux equipes de Premier League Chelsea et Aston Villa sont en train de devenir le centre d'attention apres que l'UEFA a confirme qu'elle examinerait attentivement les transferts de joueurs entre les deux equipes.
L'Agence europeenne de gestion du football soupçonne que ces transactions ne sont pas seulement professionnelles mais aussi un outil pour 'embellir' les etats financiers afin d'eviter les sanctions liees aux pertes cumulees et a la loi sur l'equite financiere.
L'interet de l'UEFA s'est particulierement concentre sur la façon dont les clubs evaluent les joueurs dans les transactions bilaterales. Lorsque la valeur des transferts est poussee a un niveau inhabituel les revenus des joueurs vendus peuvent etre enregistres immediatement tandis que les coûts d'achat sont progressivement recouvres par le contrat de plusieurs annees.
Ceci est considere comme un « faux pas » pour aider de nombreuses equipes a surmonter les obstacles financiers fixes par le championnat et l'UEFA.
A l'ete 2024 Chelsea a depense environ 25 millions de dollars pour recruter le jeune talent Omari Kellyman d'Aston Villa meme si ce joueur n'a pas encore joue un seul match. Dans le sens inverse Aston Villa a depense jusqu'a 50 millions de dollars pour acquerir Ian Maatsen - un visage du centre de formation de Chelsea qui a connu une saison assez remarquable avec 29 apparitions.
L'UEFA affirme qu'au moins un accord entre les deux equipes a ete reevalue car il ne reflete pas la valeur reelle. Dans le meme temps Chelsea et Aston Villa ont tous deux ete condamnes a des sanctions financieres en juillet pour violation des regles de surveillance financiere de l'UEFA.
Selon l'accord de reglement nouvellement conclu avec l'UEFA en cas de recidive les deux clubs pourraient etre interdits de jouer en Coupe d'Europe pendant une saison.
Dans ce contexte la poursuite de la proposition de transferts de joueurs tels que les rumeurs concernant Trevoh Chalobah ou Andrey Santos est particulierement remarquee par l'opinion publique et les organismes de gestion.