Selon la presse française, la finale du club de la Coupe du monde contre le Paris Saint-Germain pourrait etre la derniere fois que Christopher Nkunku est venu dans la chemise de Chelsea.
Toujours selon cette source la relation entre Maresca et Nkunku est toujours 'incertaine'. La raison en est que l'entraîneur italien n'a jamais vraiment fait confiance a Nkunku pour qu'il joue au poste d'avant-centre.
De plus lors des recentes seances d'entraînement Maresca a teste Nkunku au poste de... milieu de terrain defensif. C'est evidemment inhabituel car l'ancien attaquant de Leipzig a brille en jouant attaquant en Bundesliga.
Les observateurs estiment qu'il s'agit d'un test psychologique ou simplement d'une partie de l'evaluation globale que Maresca mene sur toute l'equipe.
Mais si l'on regarde plus attentivement on peut voir que les calculs tactiques de Maresca ne sont pas simplement de « supprimer » Nkunku. L'entraîneur de 44 ans construit Chelsea selon un systeme qui met l'accent sur le controle du ballon et la capacite de pivoter de maniere flexible entre les lignes.
Dans ce schema des joueurs comme Cole Palmer - qui a la capacite de conserver le ballon et de se deplacer entre les couloirs - sont privilegies. Maresca semble vouloir un veritable 'numero 9 virtuel' : savoir coordonner reculer et reguler le rythme plutot que le type de joueur qui aime courir droit et exploiter les espaces comme Nkunku.
Le recrutement par Chelsea de Liam Delap d'Ipswich et de Joao Pedro de Brighton renforce encore l'argument selon lequel Maresca privilegie le jeune modele d'attaquant adapte a la philosophie de la rotation et au pressing eleve.
Ainsi Nkunku est face au choix soit de changer pour s'adapter soit de partir des cet ete 2025.