Le 26 novembre au siège du gouvernement le vice-Premier ministre Trần Hồng Hà a présidé une réunion avec les ministères les secteurs et les localités sur la réponse à la tempête n° 15 - la tempête KOTO qui est entrée en mer de l'Est avec une intensité de niveau 8 et des rafales de niveau 10.
M. Mai Văn Khiêm - directeur du Centre national de prévisions hydrométéorologiques - a déclaré qu'avec 4 autres caractéristiques météorologiques en activité de l'océan Indien au golfe du Bengale vers le nord-ouest du Pacifique l'orientation du déplacement de la tempête n° 15 devient encore plus complexe.
Avec le scénario principal (prévisibilité de 70 %) la tempête n° 15 changera de direction à environ 450 à 500 km de Khánh Hòa - Gia Lai vers le 30 novembre. Les pluies pourraient apparaître de Đà Nẵng à Lâm Đồng le 1er février avec des précipitations d'environ 50 à 100 mm concentrées dans les zones côtières.
Faible scénario (incidence de 20 %) la tempête n° 15 entrera sur le continent dans la région du Centre-Sud avec une intensité à la zone de basse pression tropicale des vents faibles et des précipitations d'environ 150 à 200 mm principalement en mer.
En conclusion de la réunion le vice-Premier ministre a souligné que la situation des pluies et des inondations récentes dans les provinces du Centre est encore très grave tandis que la tempête n° 15 qui touchera bientôt terre ajoutera encore de la pression.
Par conséquent les localités doivent mettre à jour les informations prévisionnelles avec précision et activer toutes les réglementations relatives à la gestion des navires et ne pas autoriser les activités dans les zones dangereuses.
Pour les zones à risque de glissements de terrain le vice-Premier ministre a proposé de maintenir le scénario de réponse aux risques de catastrophes naturelles de niveau 4 en particulier dans les régions montagneuses. En particulier de continuer à mobiliser des forces pour assurer la sécurité des populations et de réévaluer les cartes des inondations des crues soudaines des glissements de terrain des 34 provinces et villes.
La carte de prévision est l'outil principal pour élaborer des scénarios et des plans de réponse. Sans elle la prévision sera également difficile' a souligné le vice-Premier ministre.
Le ministère de l'Agriculture et de l'Environnement les agences scientifiques et les prévisions météorologiques et hydrologiques examinent ajustent et perfectionnent la carte des inondations en veillant à ce que les informations soient mises à jour au niveau communal et de quartier afin que les autorités de base et les habitants puissent prévenir et éviter de manière proactive.
Les dirigeants du gouvernement ont également demandé d'évaluer les causes des crues soudaines et des glissements de terrain récents de distinguer les facteurs naturels et humains afin de tirer des leçons pour protéger la vie des personnes.
Les localités doivent s'appuyer sur des cartes historiques des inondations pour identifier les zones basses accepter de vivre avec les catastrophes naturelles et préparer des plans de réponse appropriés.

Concernant le processus d'exploitation des réservoirs hydroélectriques le vice-Premier ministre a souligné qu'il était nécessaire d'examiner la responsabilité du propriétaire du réservoir et le processus interrégional afin d'assurer l'approvisionnement en informations en aval en temps opportun. Si des mesures de contrôle et de régulation ne sont pas prises le déversement soudain d'eau peut provoquer des crues soudaines et une insécurité pour la population.
Les ministères les secteurs et les autorités locales en particulier les localités qui viennent de subir des catastrophes naturelles mettent immédiatement en œuvre les directives et la répartition des tâches qui ont été fixées.
Dans le même temps les ministères et les secteurs doivent coopérer avec les instituts de recherche et les organismes scientifiques en matière d'irrigation de météorologie et de gestion des ressources en eau afin de bien comprendre la situation d'évaluer avec précision les risques liés à l'eau afin de bien contrôler et de minimiser les dommages pour la population.
Le vice-Premier ministre a également noté qu'il était nécessaire de croiser les forces afin d'éviter la surcharge des cadres et des soldats participant à la réponse aux catastrophes naturelles.