« Ce qui est le plus approprie dans le sport c'est la conformite » l'histoire entre Murray et Djokovic bien qu'elle depasse la frontiere de l'adversaire montre cela plus clairement que jamais.
Murray - qui a perdu contre Djokovic 25/36 fois en face-a-face est un joueur de tennis celebre mais n'a pas atteint le niveau de Nole. Lorsque Djokovic a propose Murray comme entraîneur beaucoup de gens ont ete surpris. Ou expliquent qu'ils etaient des amis proches ou que Djokovic voulait trouver quelque chose a partir des pensees de ses adversaires inferieurs.
Si c'est juste pour 'jouer' on ne le dira pas mais sur le plan des realisations c'est la cooperation infructueuse des deux. Murray a franchement partage qu'il ne se sentait pas a l'aise lorsque Djokovic exigeait beaucoup d'ajustements techniques et de changements l'ancien joueur de tennis ecossais - comme beaucoup d'autres - n'etait pas fort.
Dans le meme temps Murray a egalement souligne qu'il n'avait pas d'experience d'entraînement approfondie. Son interet portait principalement sur la tactique et la comprehension approfondie du style de jeu de Djokovic. C'est pourquoi il s'est confie : 'J'ai beaucoup de limitations techniques plus que quiconque Novak le sait'.
La realite montre egalement que Chris Evert - une legende qui a analyse la strategie - a declare : 'La formation de Djokovic est vraiment une tache admirable pour Murray... il n'est peut-etre pas assez competent'. Et Murray a finalement admis : 'Je ne suis pas sûr d'aimer vraiment ce travail comme je l'esperais'.
Ces partages clarifient une chose : Lors du choix d'un partenaire le niveau d'expertise et la compatibilite du style de travail restent des facteurs decisifs. Les amis proches ne sont pas aussi bons que ceux qui comprennent le metier ; chaque combat ne signifie pas qu'il est approprie pour cooperer.
Murray a quitte Djokovic avec comprehension et respect : il a trouve ce qui lui manquait - les competences en matiere d'enseignement technique - et le desir d'apprendre davantage par exemple aupres d'experts comme Louis Cayer.
La fin n'est pas un echec mais une leçon de conscience et d'acceptation de la recherche d'une nouvelle compatibilite que ce soit dans les amis eux-memes ou en tant qu'adversaires.
Une relation de travail ne peut pas reussir uniquement grace au passe ou aux sentiments. Lorsque l'invitation de cooperation arrive regardez la veritable adequation y compris l'expertise le style les idees et la confiance. C'est la base solide d'une collaboration reussie.